Apporter soutien et encouragement aux membres de Compostelle 2000 qui entament leur périple sur le Chemin au départ de Paris, tel est l’objectif de cet accompagnement au départ.
Les prochains départs
Venez nombreux faire quelques pas avec eux pour leur apporter vos encouragements, et leur faire part de vos expériences. Ce moment de partage est toujours très heureux, et vous pouvez être sûrs qu’ils apprécieront vivement. Ils comptent sur vous.
Bernard, accueillant à Compostelle 2000, a pris en charge cette mission et vous fait partager, par le biais de la lettre mensuelle, les départs du mois dont le rendez-vous est fixé au pied de la Tour Saint-Jacques. Il nous fait part de ces petits moments pleins d’émotions et de gratitude.
Lors du premier contact téléphonique, il y a un petit moment d’hésitation : « Comment va-t-on encore se sortir de cette sollicitation ? ». Mais très vite la glace se rompt. Les questions fusent : un échange très riche s’installe ainsi qu’une grande joie.
Lors du départ de Jean-Louis, une lectrice attentive de la lettre mensuelle s’arrête un moment, avant de se rendre à son travail.
Au moment où le groupe se forme, une petite excitation se ressent : le départ approche, et les partants se sentent entourés, soutenus et aidés. L’appréhension s’évanouit. Avant le départ, quelques surprises attendent les partants : la photo souvenir au pied de la Tour, passage au pilier à la coquille et le tampon du Café-Livre sur la credencial.
Et c’est le départ : petit détour par la sacristie de Notre-Dame pour son cachet en relief (à l’accueil, il n’y a qu’un tampon à encre : il fallait le savoir !). Rue Saint-Jacques, on recherche les indices jacquaires, puis, ce sont les premières visites à l’Apôtre : à Saint-Jacques-du-Haut-Pas et à Saint-Jacques de Montrouge. Et deux tampons en plus !
Il y a aussi de vraies surprises : des amis rencontrés par hasard à la Tour Saint-Jacques ou à la sortie de Notre-Dame.
Voilà, c’est parti !
Et puis quelques jours plus tard, c’est un grand bonheur de recevoir des nouvelles. Le contact se maintient.
Bernard Favre-Bonté